DATE
ACCESSIBILITÉ
Métro ligne A : Arrêt Gare
Bus C2 : Arrêt Gare
Vélo Star : Gare
Le Festival Georges s’associe avec le cinéma de l’Arvor pour la projection de deux films, suivi d’un débat en présence de Richard Coppans.
Imphy, capitale de la France
de Luc Moullet
Né en 1937 et cinéphile dès son plus jeune âge, Luc Moullet réalise ses premiers films en 1960. À partir de 1966, il devient acteur en même temps que producteur. À ce jour, il a signé 38 films de tous formats, du court au long métrage, et de tous genres (comédie, aventure, western, film érotique, journal intime, road-movie, documentaire, policier…).
Il est présenté comme le seul cinéaste burlesque de la Nouvelle Vague, il lui suffit de poser son regard sur l’humanité et la société qui l’entourent pour en révéler les travers.
Imphy est un court-métrage de 1995 signé par : Luc Moullet. Toute l’idée du film est contenue dans son titre : Imphy, capitale de la France (produit par les Films d’Ici).
Synopsis : Pour résoudre les graves problèmes nés de la concentration de population autour de Paris, une équipe de cinéastes part à la recherche d’une nouvelle capitale… Au terme d’une longue pérégrination, réussiront-ils à trouver une capitale ? Quel sera leur choix ? Un double suspens haletant !
Paris Périph
de Richard Copans
Richard Copans est un producteur de cinéma, directeur de la photographie et réalisateur français.
No man’s land, repoussoir ? Pas si sûr… Quand la ville s’étend, le périphérique devient un enjeu d’urbanisme. Transformer la nuisance en énergie, voilà un défi de taille pour les architectes. Richard Copans, lui, la transforme en émotion.
Synopsis : Richard Copans explore le périphérique parisien, cette infrastructure à l’urbanité spécifique qui irrigue toute l’agglomération et marque la coupure entre la ville et sa banlieue. Promenade automobile, de jour comme de nuit, au milieu du flux ininterrompu des voitures, en compagnie d’un troubadour qui égrène en chantant les noms des portes. Une confrontation dynamique des échelles, des formes et des usages, qui prend ainsi une dimension poétique.
Réservation au cinema l’Arvor